Afin de respecter les normes, la réglementation et les meilleures pratiques en vigueur, Enertherm dispose d'un plan de surveillance sur toutes les activités touchant à l'eau, à l'air et au sol.
Les fluides frigorigènes sont des gaz réfrigérants. En 2000, les CFC (gaz fluorés) ont été interdits en raison de leur impact sur la couche d’ozone et sur l’effet de serre. Ils ont été remplacés par les HCFC dont le R22, gaz organiques moins destructeurs. Toutefois, ceux-ci ont une très longue durée de vie et un fort Potentiel de Réchauffement Global (PRG ou GWP), c’est pourquoi la réglementation européenne n° 2037/2000 du 29 juin 2000 demande leur retrait avant le 1er janvier 2015.
Enertherm a supprimé le R22 de sa production bien avant cette échéance.
Pour réduire davantage ses émissions, l’entreprise mise sur les HFO (HydroFluoro-Oléfines), des fluides frigorigènes de 4ème génération 1000 fois moins persistants dans l’atmosphère.
En application des guides de bonne conduite émis par le Ministère de l'Environnement et du Développement Durable et en respect de la réglementation en vigueur (notamment de l'Arrêté du 13 décembre 2004 relatif aux installations de refroidissement par dispersion d'eau dans un flux d'air soumises à autorisation), Enertherm a mis en place une méthodologie d'analyse de risques adaptée appelé « Plan de Surveillance » et participe également à la plateforme d'échanges Afnor « Risques Légionnelles ».
Le plan de surveillance permet d'agir sur la conception de l'installation, la formation du personnel et l'entretien du parc (maintenance préventive systématique, nettoyage et désinfection de l'installation à l'arrêt).
Enertherm consacre une part importante de son budget d'exploitation au traitement d'eau et particulièrement aux actions préventives et curatives permettant de lutter efficacement contre les risques de légionellose.
Un dispositif de traitement anti légionnelles de l'eau de refroidissement des groupes frigorifiques a été déployé en 2010.
Un électrolyseur à partir de saumure (solution aqueuse saturée en sel) produit en permanence de l'hypochlorite de sodium (eau de javel) directement injectée dans le circuit de refroidissement (tours aéroréfrigérantes). La valeur ajoutée d'un tel système est réelle car il se substitue à l'injection de produits biocides (onéreux et contraignants à manipuler) et permet une diminution rapide du biofilm et donc une meilleure prévention du risque légionelle.
Au final, Enertherm obtient un gain écologique (réduction de l'impact environnemental) et financier. En termes de Développement Durable, notre « retour sur expérience » est très positif et se traduit par :
Enertherm surveille et mesure l'impact de son activité sur l'air et contribue financièrement au réseau de surveillance de la qualité de l’air sur Paris (Airparif).